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Et un jour, une femme (Obispo Pascal)

D'avoir passé des nuits blanches à rêver Ce que les contes de fées vous laissent imaginer D'avoir perdu son enfance dans la rue Des illusions déçues passer inaperçu D'être tombé plus bas que la poussière et à la terre entière En vouloir puis se taire D'avoir laissé jusqu'à sa dignité Sans plus rien demander qu'on vienne vous achever Et un jour une femme dont le regard vous frôle Vous porte sur ses épaules Comme elle porte le monde Et jusqu'à bout de force Recouvre de son écorce Vos plaies les plus profondes Puis un jour une femme Met sa main dans la votre Pour vous parler d'un autre Parce qu'elle porte le monde Et jusqu'au bout d'elle même Vous prouve qu'elle vous aime Par l'amour qu'elle inonde Jour après jour vous redonne confiance De toute sa patience Vous remet debout Trouver en soi un avenir peut-être Et surtout l'envie d'être ce qu'elle attend de vous Et un jour une femme dont le regard vous frôle Vous porte sur ses épaules Comme elle porte le monde Et jusqu'à bout de force Recouvre de son écorce Vos plaies les plus profondes Vos plaies les plus profondes Et un jour une femme Met sa main dans la votre Pour vous parler d'un autre Parce qu'elle porte le monde Et jusqu'au bout d'elle même Vous prouve qu'elle vous aime Par l'amour qu'elle inonde Par l'amour qu'elle inonde Et un jour une femme Dont le regard vous touche Porte jusqu'à sa bouche Le front d'un petit monde Et jusqu'au bout de soi Lui donne tout ce qu'elle a Chaque pas chaque seconde Et jusqu'au bout du monde Jusqu'au bout du monde Jusqu'au bout du monde Parce qu'elle porte le monde